Conférenciers

Deux noms qui marquent son appartenance à une double culture. En effet, Pascal, enfant du Fenua, à ce pouvoir de comparaison qu'ont les personnes ayant vécu sous différentes latitudes. Ses multiples pérégrinations l'ont amené à son retour en Polynésie, il y a presque vingt ans, à réapprendre son pays de naissance. De sa langue d'origine à la culture marquisienne, il devient le secrétaire général de la fédération culturelle Motu Haka en 1999 et est membre actif d'associations et ONGs polynésiennes à caractère patrimonial (culture-nature). Il crée OATEA en 2001, société en ingénierie-conseil en Tourisme, Environnement et Art & Culture. De la création de centre culturel à la réalisation de sentier de randonnée, de guide-conférencier à la formation professionnelle, autodidacte et touche à tout, Pascal Erhel Hatuuku devient conseiller technique auprès des gouvernements sur les thématiques qui lui sont chères : Tourisme-Nature-Culture. Il manquait un Chef de Projet "Marquises-Unesco", Pascal vient pallier idéalement cette gageure. 

Né au Chili et élevé en Argentine, Alex a passé son enfance à vivre dans différentes parties de ces pays et à apprendre à connaître les cultures locales. Il a étudié le journalisme à l’Université du Chili et a fait des études supérieures à l’UBC à Vancouver, Canada et a travaillé comme producteur de télévision. Depuis qu’il était enfant, le rêve de sa vie était de visiter l’île de Pâques, ou Rapa Nui dans la langue locale. Alex a travaillé pendant des années avec Lindblad Expeditions sur l’île de Pâques et travaille également comme guide au Chili. Passionné de plongée et de photographie, ses photos ont contribué à l’élaboration des livres sur l’île de Pâques. Son amour pour le passé et le présent culturels de Rapa Nui et de la Polynésie, ainsi que sa passion pour la faune et la nature, font de lui un guide passionné.

Diplômée d’Harvard et de l’Université de New York, Anna est historienne de l’art avec un intérêt particulier pour le 18e siècle, le siècle des grandes découvertes dans le Pacifique et des rencontres entre les cultures océaniennes et occidentales.  D’origine polonaise et ayant la double nationalité franco-canadienne, Anna a vécu en Europe, aux Etats Unis, au Moyen Orient, en Asie et au Canada. Elle a enseigné et travaillé dans plusieurs établissements académiques internationaux, tels que l’Université américaine de Doubaï, Savannah College of Art and Design à Hong Kong et l’Université McGill à Montréal. En plus de ses recherches actuelles sur l’art polynésien, Anna se consacre à la promotion de la coopération académique internationale auprès du Ministère des Affaires étrangères du Canada.

Benjamin TEIKITUTOUA dit « PIRI » a 68 ans, né le 13 septembre 1951 sur un « MARAE » dans la Vallée de HAKATAO à UA POU, une des Iles Marquises. Professeur des Ecoles à la retraite depuis 13 ans, il se consacre maintenant principalement à la reconstruction de son peuple. Il est le Responsable de l’Association Culturelle de Ua Pou et Vice-Président de la Fédération Culturelle MOTU-HAKA des Iles Marquises qui a réveillé cette Culture. Il est également le Vice-Président du Comité Organisateur du Festival des Arts et Culture des Marquises qui aura lieu à Ua Pou en décembre 2019 (du 16 au 19 décembre).

Très impliquée dans la vie Polynésienne elle a notamment été, subdivisionnaire du service de l’urbanisme de 1981 à 2016, adjointe au Maire de la Commune de Nuku Hiva de 2003 à 2014, présidente du comité de tourisme de 1997 à 2003, secrétaire de l’association culturelle Te Hina o motu Haka de 1991 à 2017, vice-Présidente de l’association pour l’environnement de Nuku Hiva, trésorière de l’association Centre de documentation des Marquises Paevii de 1993 à 2017, secrétaire de l’association de randonnée de Nuku Hiva Nuku Mai à Taha et enfin Présidente de l’Ordre National du Mérite de Polynésie élue en avril 2017.

Directeur du département de droit, économie et gestion et maître de conférences en science politique à l’Université de la Polynésie française. Membre du laboratoire Gouvernance et Développement Insulaire, GDI (EA 4240). Membre du comité du Pacific Island Political Science Association (PIPSA), Auckland. Membre du Réseau Asie-Imasie du CNRS. Membre de l’Association Française de Sciences Politiques.

Retraitée de l’Université de Washington depuis 2014, où elle a été professeur des beaux-arts, directrice du département des beaux-arts et doyenne associée du College of Arts and Sciences. Les recherches du Dr Ivory portent sur l’art, l’histoire et la culture des îles Marquises. Depuis plus de 25 ans, elle travaille avec des leaders culturels et des artistes des Marquises.

Basée en Polynésie française depuis 1993, Cécile Gaspar est docteur vétérinaire, titulaire d’un MBA et d’un doctorat en écologie marine. Elle est membre fondateur du Réseau Océan Mondial, de l’association Tetiaroa Society, du Cluster Maritime de la Polynésie française et a fondé, en 2004, l’ONG Te mana o te moana.

Diplômée des Universités Paris- Nanterre, Montesquieu Bordeaux et Maître de Conférences, elle a enseigné l’Histoire/Géo à Tahiti de 1976 à 2000. Elle a menée plusieurs conférences sur l’histoire polynésienne et participé à deux tournages pour Arte, l’un portant sur la mutinerie du Bounty et l’autre sur le tour du monde de Bougainville.

Elle s’est rendue pour la première fois aux îles Marquises en 2001 quand elle était étudiante en archéologie. L’année suivante, elle est revenue pour mener ses propres recherches anthropologiques et, à la fin de l’été, elle était un membre adopté (tafai) d’une famille locale. Elle a passé dix ans à diriger une école de fouilles archéologiques et à assurer la conservation du musée communautaire à Vaitahu, parle couramment français et maîtrise le marquisien.

Elle est l’auteure de plus de 50 articles et livres sur les arts performatifs de la Polynésie française. En tant que chercheuse principale pour le projet de l’UNESCO sur l’étude territoriale de la musique océanienne dans les îles Marquises, elle a enregistré et documenté plus de 740 chansons et a reçu une mention spéciale de l’organisation culturelle marquisienne Motu Haka. Sa thèse internationale primée, fondée sur le travail de terrain de l’UNESCO, portait sur la musique, la danse et la poésie orale des îles Marquises.

Professeur à l’Université Rutgers, elle a travaillé aux îles Marquises, dans le Vermont, en France, à Montréal et à New York. Ses recherches ont porté sur la relation entre les idéologies linguistiques et la socialisation de la langue, le changement linguistique et les identités sociales construites culturellement. Récemment, elle a examiné comment la nourriture et la langue sont liées à la fois matériellement et symboliquement.

Né et élevé sur l’île de Kaua’i à Hawaii, le Dr NeSmith a passé beaucoup de temps sur différentes îles de Polynésie à étudier les langues et cultures polynésiennes. Il a enseigné la langue hawaïenne, les études hawaïennes, la revitalisation des langues en danger dans diverses universités, telles que l’Université d’Hawaii (la majorité de sa carrière), l’Université de la Polynésie française, l’Université de Waikato. Il effectue des recherches sur les cultures et les langues hawaïennes et polynésiennes, voyage beaucoup en Polynésie et à l’étranger pour ses recherches et continue d’enseigner.

Éducatrice hawaïenne primée, auteure-compositrice-interprète, conteuse, chercheuse et experte en langue, histoire et culture hawaïennes. Première personne au monde à obtenir un doctorat en éducation indigène, elle a obtenu des diplômes d’enseignement en hawaïen et en allemand, une maîtrise en langues et littérature européennes. Consultante internationale en éducation autochtone, elle a beaucoup voyagé et travaillé dans les pays indiens et en Polynésie pour revitaliser les langues autochtones.

Elle a participé aux recherches archéologiques et aux restaurations, notamment dans les îles Marquises de Ua Pou, Ua Huka, Nuku Hiva, Hiva Oa et Tahuata. Depuis les années 1980, elle et son mari Pierre ont participé à l’étude du patrimoine polynésien dans l’archipel des Marquises qui s’est étendu à la découverte des plus anciens sites de la Polynésie orientale à Anapua, Ua Pou. Elle a également conduit à l’étude systématique des vallées, comme le complexe cérémoniel de Tahakia-Kamuihei-Tei’ipoka et le site religieux de I’ipona. Elle a contribué à de nombreuses publications telles que des dictionnaires ou catalogues d’exposition.

Il est chercheur à l’Institut de recherche pour le développement. Il a passé plus de 15 ans à faire des recherches sur les colonies en ruines dans les îles Marquises. Son travail a inspiré la population locale à reconstruire des maisons traditionnelles à partir des souvenirs des aînés et de ses recherches. Cela a à son tour revitalisé l’artisanat traditionnel comme la sculpture sur bois.

Anthropologiste de l’Université de Californie, Berkeley. Dr. Millerstrom orientera ses conférences vers les origines et les types de migrations de la Polynésie ainsi que leurs peuplements et particulièrement les premiers peuplements et la vie aux Iles Marquises. Depuis 1984, elle a parcouru toutes les îles Marquises. C’est ainsi qu’elle a fait la découverte et a répertorié un nombre considérable de tikis dont plus de 7.000 anciens pétroglyphes. L’architecture préhistorique, la culture des objets, et le tatouage seront également les sujets de ses conférences à bord.

Doyen du Clark Honors College et professeur d’anthropologie à l’Université de l’Oregon. est un archéologue dont les recherches et l’enseignement portent sur les changements environnementaux historiques et la vie sur les îles de l’océan Pacifique. Il mène des recherches archéologiques dans les îles du Pacifique depuis plus de 30 ans.M. Hunt a publié de nombreux articles scientifiques sur l’archéologie, la préhistoire et la linguistique du Pacifique.En 2008, le Dr Hunt a reçu la prestigieuse Médaille d’excellence en recherche du Conseil des régents de l’Université d’Hawaii en reconnaissance de ses travaux novateurs sur Rapa Nui. En 2005, le Dr Hunt a reçu la médaille d’excellence en enseignement de l’Université d’Hawaii Regents.La recherche de M. Hunt a fait l’objet d’une couverture du National Geographic Magazine (juillet 2012) et d’un documentaire télévisé complet du Nova-National Geographic diffusé en novembre 2012.

Ed Rampell est un écrivain et auteur indépendant basé à Los Angeles. Il porte le nom du légendaire présentateur de CBS, Edward R. Murrow, en raison de ses révélations télévisées sur le sénateur Joe McCarthy. Il a étudié le cinéma au Hunter College de Manhattan. Après avoir obtenu son diplôme, M. Rampell a vécu à Tahiti, Samoa, Hawaï et en Micronésie, où il a réalisé des reportages sur les mouvements en faveur de la liberté et de l’indépendance nucléaires dans le Pacifique et de la souveraineté hawaïenne pour ABC News « 20/20 », Reuters, AP, Radio Australia, Radio New Zealand, NewsWeek, Honolulu Weekly, etc. En 1999, Rampell s’est installé à L.A. et a contribué à la colonne « The Finger » du New Times L.A., Variety, Written By, The Nation, L.A. Times, L.A. Daily News, Financial Times, New York Press, Guardian etc. Rampell a co-écrit « Conversations with W.S. Merwin » et les histoires de films : Made In Paradise, Hollywood’s Films of Hawaii and the South Seas », « Pearl Harbor in the Movies » et « The Hawaii Movie and Television Book ».

Co-directrice du département d’ethnologie de l’Université de Bretagne Occidentale (Brest, France) et chercheure associée à la James Cook University (Townsville, Australie), Géraldine Le Roux a consacré une thèse en histoire de l’art et anthropologie à la production et à la circulation internationale des arts contemporains océaniens. Commissaire d’exposition, elle a contribué à diffuser en Europe des artistes du Pacifique. Ses conférences s’inscrivent dans le champ de ses recherches – approches muséographiques, processus de patrimonialisation, l’éthique du marché de l’art aborigène, les festivals océaniens, et les revendications identitaires autochtones. Depuis quelques années, elle travaille également sur la pollution marine et le recyclage artistique des laisses de mer, sujet de son prochain ouvrage.

Il a travaillé de nombreuses années en Polynésie où il réside souvent. Passionné par l’histoire des grandes découvertes maritimes dans l’océan Pacifique, Ghislain a écrit de nombreux articles sur ce sujet ; il est en particulier l’auteur du livre Des nouvelles de monsieur de la Perouse. En France, il est Vice-Président de l’association des amis de la Polynésie Française et secrétaire général honoraire du Centre d’études sur l’île de Pâques et la Polynésie. Dans ce cadre il anime de nombreuses conférences dans les universités du temps libre. Les sujets des conférences seront : découverte historique de la Polynésie et des iles Marquises, la mutinerie du Bounty, le naufrage de la Matilda, L’expédition LA PEROUSE, l’expédition d’Entrecastaux.

Sa famille est originaire de l’île de Ra’iatea, mais elle a grandi à Tahiti. Après ses études secondaires, elle est partie en France pour faire des études de langues. Après dix ans passés en France, elle est revenue chez elle pour y enseigner l’anglais. Après 20 ans passés au Lycée de Ta’iarapu elle quitte l’Education Nationale pour se consacrer à sa famille et ses recherches. Passionnée par l’histoire de son pays elle a entrepris des recherches en ethno-histoire dès son retour à Tahiti en 1994. Aujourd’hui Docteur en civilisation, elle continue d’enseigner à l’Université de Polynésie Française et d’écrire sur l’histoire de Tahiti.

Loïc Josse, né au bord de la mer en Bretagne, a suivi un cursus universitaire varié (Sciences-Po, Histoire, Ethnologie), avant de connaitre plusieurs vies professionnelles : journaliste, enseignant, cadre dans l’industrie, libraire… Passionné par la mer, la littérature et les voyages, il est aussi auteur de livres documentaires, conférencier, animateur de prix littéraires… et il adore naviguer sur tous les océans. Il a écrit le livre “Marquises, si lointaine Terre des Hommes” paru chez Nevicata.

A voyagé à bord de l’Aranui où il y racontait les voyages de son arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père, le vice-amiral William Bligh du HMS Bounty, de renommée historique. Depuis plus de 45 ans, Maurice Bligh mène des recherches sur son légendaire ancêtre et s’efforce de dissiper la désinformation et le portrait inexact de William Bligh que l’on retrouve dans plusieurs romans et deux films sur la mutinerie de Bounty. Maurice révèle que William Bligh, connu sous le nom de » Captain Bligh « , était un héros national britannique qui faisait partie intégrante de la navigation dans l’océan Pacifique et de l’exploration de Tahiti.

Moearii Darius est polynésienne. Diplômée d’une école de commerce, elle est cadre au sein d’une grande société locale dédiée au transport aérien et au tourisme. Son métier et sa curiosité l’amènent à sillonner régulièrement les archipels du Pacifique. Très investie dans la culture polynésienne, Moearii a notamment dansé plus de vingt ans dans des groupes de Ori Tahiti et suivi une formation universitaire (Du) sur les patrimoines naturel, culturel et historique polynésiens.

Diplômé de l’Ecole Supérieur d’Agriculture d’Angers (ESA), spécialité agroécologie, il devient en 2006 le délégué territorial de ADIE France (Association pour le droit à l’initiative économique), ensuite devient le directeur régional de ADIE Polynésie en 2011. En 2015, il est le Chef du Service Agroécologie à la Chambre d’Agriculture de Normandie, un an après, il prend la direction de la Fondation Agir contre l’Exclusion et enfin, en 2020, il fonde l’Ecomusée « Te Fare Natura ».

Pauline Reynolds a vécu de nombreuses années à Tahiti et sur l’île Norfolk avant de déménager en Australie pour poursuivre ses études. Elle a écrit un livre : Pitcairn Tapa ‘Ahu no Hitiaurevareva sur ses recherches sur le tissu tapa fabriqué par ses aïeules, les femmes polynésiennes du Bounty. En 2010, elle a reçu une bourse Churchill pour visiter et étudier le tapa de Pitcairn conservé dans les collections de musées du monde entier aujourd’hui. Elle travaille actuellement sur un livre sur la vie des femmes oubliées du Bounty. Elle est considérée comme la principale autorité mondiale en matière de tapa de Pitcairn.

Denise est d’origine suisse, de Bâle ; elle a travaillé à l’hôpital de Tahiti comme infirmière. Il était un VAT 69, c’est-à-dire un Volontaire à l’Aide technique, et est venu à Tahiti en 1969 pour enseigner la philosophie au Collège protestant de Papeete et également à l’Ecole d’Infirmières durant de longues années. Il a présidé la Société des études océaniennes. Denise et Robert ont fondé une petite société d’édition, Haere Po qui a publié depuis 1981 une centaine d’ouvrages sur nos îles, tous imprimés à Tahiti même.

Seth M. Bybee est un chercheur universitaire de l’Université Brigham Young. L’auteur a contribué à la recherche dans le(s) domaine(s) : Monophylie & Odonata. L’auteur a co-écrit 74 publications recevant 1703 citations. Les affiliations précédentes de Seth M. Bybee incluent l’Université de Floride et l’Université de Californie, Irvine.

Né à Tahiti, la vie de Tahiarii a été influencée par son enfance entre l’Europe et la Polynésie. En 2003, Tahiarii est retourné sur les îles Raromatai pour être proche de son peuple et s’est installé à Bora Bora, partageant son temps entre son activité informatique et ses responsabilités culturelles. Tahiarii suit l’ancienne tradition Arioi en pratiquant et interprétant les arts polynésiens, enseignant aux jeunes générations à renouer l’ancien et le contemporain. Il a participé à l’organisation d’événements culturels tels que le « Festival de la Tattoonésie » de renommée internationale. En 2007, il s’est installé à Hawaï pour poursuivre ses recherches sur son héritage indigène et a été accepté comme élève de navigateurs hautement reconnus tels que Nainoa Thompson et Onohi Paishon. En 2009, il a navigué sur le Te Matau a Maui canoë dans l’expédition historique Tavaru Fleet de la Nouvelle-Zélande à Rarotonga via Tahiti en pratiquant un guidage non instrumental. Il a été chargé de cours de culture polynésienne à bord du Robert C. Seamans, un navire de recherche américain, en 2012 de Tahiti à Hawaii.

Elle a été directrice adjointe du Museum of Fine Arts de Santa Fe, au Nouveau-Mexique (États-Unis), avant de s’installer en Nouvelle-Zélande en 1995.  Elle a conservé ses associations muséales tout en travaillant à la préservation du patrimoine culturel maori et européen.  Elle a beaucoup voyagé dans le Pacifique à la recherche de la culture matérielle de différents groupes d’îles.  Grâce à sa grande expérience et à ses connaissances de l’histoire polynésienne et européenne de la Nouvelle-Zélande, des îles Marquises, de Samoa et de Niue, Mme Andrews explorera les premiers voyages de découverte dans le Pacifique et les liens et associations entre les cultures insulaires.  Les discussions porteront notamment sur les récents voyages en canoës à double coque.  L’art, l’artisanat et le tatouage traditionnels marquisiens seront présentés aux côtés d’artistes et d’écrivains tels que Paul Gauguin, Jacques Brel et Herman Melville.  Le renouveau de la culture et des traditions marquisiennes sera abordé, ainsi que l’attrait romantique de la Polynésie française.